Bonjour, vous avez visité mon site, peut-être avez-vous eu en main ma carte de visite ou le flyer qui présente le type de travail que je propose. Mais il peut vous rester des questions. Il en reste en général certaines très fréquentes aux quelles je me propose de répondre.
- En fait, c’est quoi l’Analyse transactionnelle ?
- Mais vous proposez quoi comme activité de travail ?
- Mais êtes-vous psychothérapeute ?
Si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à me les envoyer via mon adresse de contact.
En fait, c’est quoi l’analyse transactionnelle ou AT ?
L’AT est une thérapie qui travaille sur la relation (ou la transaction). Elle a cet intérêt de mettre en mots et de réfléchir aux mécanismes qui sous-tendent la relation d’un individu avec l’autre ou d’un individu avec lui-même. En analysant cette relation (transaction) entre moi et moi ou moi et l’autre, en comprenant ce qui se joue, à qui ou quoi cela fait référence du passé et ce que cela fait faire, ressentir ou penser, il est possible de déchiffrer et traduire ce qui fait que parfois nous sommes en conflit ou dans une impasse.
L’AT est née dans les années 1950-1970 grâce au travail d’Eric Berne, psychanalyste américain qui travaillait en hôpital psychiatrique mais aussi en consultations individuelles. Si son travail a les bases de la psychanalyse freudienne, il a développé un nombre de théories qui ont élargi les possibilités de travail dans la relation thérapeutique et le travail thérapeutique proposé. De nombreux auteurs depuis ont développé et ils ont fait de l’analyse transactionnelle une thérapie vivante et dynamique. De nombreux concepts de l’AT sont actuellement repris dans des formations en communication, en coaching, et en process com en particulier.
vous proposez quoi comme activité de travail en Analyse Transactionnelle (AT)?
Je propose des consultations de psychothérapie individuelle ou en travail de groupe pour des analyses de pratiques professionnelles. J’utilise l’analyse transactionnelle dans le champ de la thérapie.
Ce sont des consultations de 1 heure en moyenne, assis en face à face pour des échanges dynamiques. Il y a beaucoup d’échanges et de communication sur les sujets qui s’invitent dans la consultation.
Le point de départ de ces consultations est variable mais il y a un point commun : Un problème identifié par la personne qui vient consulter après avoir pris rendez-vous et qui pense qu’elle a besoin d’aide pour avancer.
Un problème qui est parfois source de souffrance, d’autre fois de confusion, de détresse ou d’impasse.
Oui mais dans quel domaine ? Tu travailles avec des personnes qui font des burn-out ? Oui.
Est-ce que tu interviens dans les entreprises ? Pour l’instant non. Mon domaine d’accompagnement de groupe serait plutôt celui de la santé, et des métiers de relation d’aide. Je suis médecin de formation initiale et je connais bien le monde de la santé. Par ailleurs, avec mon activité principalement en maternité, je connais aussi ce que peuvent vivre des couples, des mères lors de la période périnatale à l’accouchement et en suites de couches.
Parce que parfois accoucher ce n’est pas si idyllique que cela ? oui, parfois cela peut générer de véritables traumatismes qui ne sont pas toujours facile à vivre alors même que l’on demande aux parents d’être disponible à un nombre incalculable de tâche. Avoir un espace de parole et de travail, de deuil dédié entièrement à la mère, au père ou au couple est parfois une aide indispensable.
Dans le monde de la santé, le burnout, la surcharge mentale, la perte de sens, et les impasses liées à la double contrainte de rendement et de qualité est source de nombreuses problématiques liées à l’humain. En parler en thérapie est tout à fait adapté.
Néanmoins le fait que je sois liée au monde de la santé ne signifie pas que je ne peux pas travailler avec des personnes de tout horizon. Car les problématiques énoncées ne sont pas exclusives au monde de la santé et de la relation d’aide. Il s’agit de problématiques universelles. En famille, dans la solitude, dans la deshumanisation qui nous envahit au quotidien et qui nous met en souffrance. Le deuil est par exemple aussi, une problématique universelle et qui nous touche tous.
C’est quoi psychopraticienne en fait êtes vous psychothérapeute ?
Je ne suis pas psychothérapeute car c’est un titre qui est protégé et qui ne concerne essentiellement que les psychologues, psychiatre et psychanalyste.
Ma formation initiale de 5 années en Analyse transactionnelle ne peut donc pas me permettre actuellement d’avoir le titre de psychothérapeute. Je suis donc psychopraticienne et je propose une activité de psychothérapie. Dans ma formation d’analyse transactionnelle il est demandé de répondre à certains critères de formation, de travail personnel et de supervision garant de la qualité du travail fait en thérapie dans mon cabinet.