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L’altérité

Partir à la découverte de soi et de l’autre peut faire partie d’une thérapie.

Pas toujours facile de se donner le droit d’exister. Mais qu’en est-il de donner le droit à l’autre d’exister ? N’existe-t-il pas parfois une confusion entre ce que « moi je veux » et ce que « l’autre veut ? »

Comment cela s’articule-t-il dans le quotidien ? Ne serait-ce pas parfois la source des problèmes que nous rencontrons dans notre vie de famille, au travail? Est-ce que cela ne serait pas ce qui me vide de mon énergie? Est-ce possible de changer cela? Cela nécessite souvent un travail de réflexion pour comprendre.

Confusion ?

Pourquoi confusion ? confusion car nous pourrions nous poser la question de savoir si nous sommes toujours conscients de cette part de la relation ? Ne serions-nous pas dans la méconnaissance de l’autre en étant dans la méconnaissance de soi ?

Ah ! voilà les nœuds au cerveau qui commencent. Beaucoup d’affect s’inscrivent dans ce genre de réflexion, beaucoup de limites aussi.

 Limites ?

 Limites dans le sens défense. Notre conscient, ou notre cerveau cherche à garder l’équilibre qu’il s’est construit pour survivre aux agressions de l’environnement social dans lequel il évolue. Tout changement crée une résistance. Parfois, nous avons besoin de l’aide d’une tierce personne pour lever ses défenses et continuer à se protéger en prenant soin de soi. En tant que psycho praticienne je peux vous accompagner dans le chemin de la découverte de soi, de la redécision, de la vision autrement et la découverte de l’autre.

L’autre n’est pas moi. C’est une évidence.

Une évidence oui. Sémantiquement l’altérité semble facile à aborder. Mais à la vivre ? Comment enfant adolescent adulte ai-je réussi à construire ma différentiation, mon indépendance vis à vis de l’autre? Comment est-ce que je peux accueillir alors l’autre dans sa différence et comment ne plus l’instrumentaliser pour moi et le laisser être ce qu’il est ? sans me sentir en danger ? Abandonner ?

Comment une fois que je ne suis plus dans la pensée, suis-je capable de ressentir les choses et de mettre en acte ma relation à l’autre ?

Un peu prise de tête de concept non ?

Bien un truc de psy ça !

Possible. Je répondrais en quelques questions. Tout commence souvent, un jour, par un constat ou une question. « Il/Elle a changé ! » « Je ne suis pas heureux/se. »  « Suis-je au bon endroit ? » « Avec la bonne personne ? » « Qu’est-ce que cette personne attend de moi ? » « De quoi ai-je besoin ? » « Cette personne est -elle bien pour moi ? » « Cette équipe est-elle une bonne ou une suffisamment bonne équipe ? » « Qui est cet adolescent que je ne reconnais plus ? » « Mais ils veulent quoi à la fin ? »

Voilà parfois des questions qui viennent sans que cela a été choisi ou réfléchi. Le cerveau sait nous poser des questions. Qu’elles soient balayées, avec ou sans réponse, parfois elles agissent sur notre moral, notre comportement et nos décisions. C’est une réalité qui ne signifie pas que ce soit une prise de tête mais plutôt une pause pour avancer ou changer.

Au final n’est ce pas juste un moyen de se sentir mieux?

Entre moi, soi et l’autre n’y a-t-il pas un peu de découverte à faire?

Nombre de difficultés à être, exister, réussir sont logées dans cette simple question. Elle n’est pas prise de tête, mais, par contre, elle peut être difficile car elle nous « secoue » dans nos croyances, notre cadre de référence et notre paix intérieure car les réponses créent le changement.

Qui a dit que le chemin de la vie est facile et sans chaos? Une bonne réponse serait: Cela dépend de quoi on parle? N’est-ce pas ce que la thérapie propose ? Parlons en! Parlons en ensemble!

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